TEMOIGNAGES

TEMOIGNAGES

Témoignages du cheminement accompagné

Pour vous, ces témoignages des clients de #Chemin Aidant® !

Marche statique accompagnéeAu coeur de mon approche : l‘individuation et un travail d’ajustement des clients à leur environnement personnel et professionnel – il n’y a donc pas de « synthèse », de « grandes lignes » au rendez-vous de ces vécus.
Juste, je l’espère, le plaisir pour vous d’une rencontre avec ceux qui ont choisi d’être accompagnés pour se mettre ou se remettre en chemin – dans le respect de la confidentialité de mon accompagnement.

DECOUVREZ EGALEMENT D’AUTRES FORMES D’ACCOMPAGNEMENT EN MARCHANT!

« …l’exercice de « marche codifiée »… »

Nous sommes arrivés au rendez-vous marche avec beaucoup d’envie, mais un peu de scepticisme aussi… Quelques mois après cette étape essentielle de notre accompagnement collectif, nous sommes encore bluffés par ses effets.
Nous avons alterné des temps d’échanges collectifs (à 2, 3 ou tous ensemble) et des temps de réflexion individuelle, tout en nous laissant porter par nos guides, car nous ne savions absolument où nous allions.
La notion de chemin a été déterminante : par la symbolique des toponymes particulièrement adaptée à notre environnement de travail et nos objectifs (« La Contrainte », « Avec », « L’Indicateur », « La Communauté », « Le Contre-temps »…), par le travail individuel et le partage sur nos chemins managériaux et par les cheminements individuels (y compris la nuit…) et celui de notre équipe.
Philippe, Olivier et Delphine nous ont observés et nous ont amenés à nous observer collectivement pour nous faire prendre conscience de nos fonctionnements et aussi dysfonctionnements.
Marcher côte à côte permet de libérer la parole et l’exercice de « marche codifiée » avec « je suis dispo pour l’échange », « j’ai quelque chose à te dire » ou « je ne suis pas réceptif » permet de s’impliquer ou se mettre en retrait selon l’état d’esprit du moment. Le fait de marcher permet de poser la réflexion, sans contrainte de temps ou de cadre.
En prenant conscience du fonctionnement des autres, en partageant nos émotions, en se parlant avec sincérité et bienveillance, tout ce que ce cadre de travail a permis, nous avons créé du lien et de la cohésion, trouvé nos complémentarités.
La séparation après ces quelques jours de marche a été difficile, mais nous a donné envie de reproduire dans nos activités quotidiennes des temps de partage managériaux avec le même état d’esprit. Equipe de Direction, Ouest France.

… »retrouver le rythme du monde, des responsabilités… mais j’ai changé, des joies, des décisions, des choix se sont installés en moi »…

Une semaine par an…
Une semaine par an, je pars

Une semaine par an, je quitte mon quotidien, mes enfants, mon compagnon, mes responsabilités
Une semaine par an, je vais à la rencontre de moi-même, de ma vie, de ma vocation
Une semaine par an, je vais écouter
Une semaine par an, je vais relire mon chemin de vie
Une semaine par an, je vais travailler à ancrer mon quotidien de demain
Alors j’ai choisi de marcher. Minimum 7 jours. De marcher toute la journée et surtout de ne rien faire d’autre.  Eventuellement accueillir ce qui émerge. Je choisis un chemin où je peux me connecter à moi-même, à la nature, où je peux accueillir l’inattendu, où je retrouve ma foi, où je me mets à l’écoute du christ. Je choisis un chemin où d’autres ont marché avec cette même intention : trouver des questions à leurs questions. Ma foi est chrétienne, j’ai choisi le chemin de Saint Jacques. Je choisis un chemin où je peux me reconnecter à la beauté de la nature.
Je choisis d’être accompagnée : librement, je me contrains à  mettre un cadre, à me soumettre à un autre. J’ai choisi d’être accompagné par Philippe.  Je peux ainsi laisser ma pensée partir aussi loin que possible car je sais que je vais la mettre en mots auprès de Philippe , la confronter au réel, à la critique. Elle s’incarne et va pouvoir éventuellement se transformer en action. Je me sens en sécurité.
Marcher, c’est pouvoir mettre en travail tout mon être : mon corps, mon coeur, ma tête. Les deux premiers jours, en général, j’ai peu  envie de parler… lorsque démarre la journée, je marche, je marche sans désirs autre que me reconnecter avec le rythme de mon corps et de la nature. Lorsque Philippe s’approche et m’invite en silence à commencer le travail, souvent au bout de plusieurs minutes, nous rions : je n’ai pas envie de parler et j’aimerais bien qu’il le fasse à ma place ;-))). Philippe accompagne, un pas sur le coté et un peu derrière…. Il ne prend pas notre place…. Alors je finis par y aller.
Jour après jour, je retrouve ma liberté, ma joie d’être une enfant assoiffée d’amour et de sens, de bienveillance, d’insouciance.  Je goute le luxe de lâcher pleinement l’organisation : où allons dormir, manger ? je ne m’en soucie pas.

Philippe CAstan Je goûte aussi le luxe d’un petit sac à dos avec le strict minimum… je m’amuse à avoir le sac à dos le plus léger possible … 3,5 kg pour 8 jours. Marcher le plus libre possible, c’est source d’une joie profonde.
Puis  vient le temps du retour… il faut revenir dans « le monde ». C’est le moment le plus difficile, retrouver le rythme du monde, des responsabilités… mais j’ai changé, des joies, des décisions, des choix se sont installés en moi,
dans mon coeur, dans mon corps. Je retrouve les miens et me remets en route plus puissante, plus heureuse dans toutes les domaines de ma vie.
Au bout de quelques mois, je reprogrammé vite ma nouvelle semaine pour déjà me mettre en route intérieurement. »
B, consultante, Sud.

… »le fait de marcher rend l’exercice plus simple »…(travail en couple)
Elle : J’ai souhaité faire une thérapie de couple en chemin accompagné car je pensais que cela conviendrait à mon mari. Après ce cheminement j’ai compris que ce choix d’une thérapie en mouvement je l’avais fait avant tout pour moi, car j’ai du mal à rester statique. Le cheminement parsemé d’expérimentations m’a fait prendre conscience de l’image que les autres peuvent se faire de moi, de mes forces et des points qu’il me reste à améliorer …
Lui : Habituellement j’ai beaucoup de mal à parler, et à passer du temps à réfléchir sur ce que je ressens. J’avais donc une certaine appréhension, et je pensais que le week end allait être lonthérapie de coupleg et rébarbatif. J’ai été très agréablement surpris : le fait de marcher rend l’exercice plus simple. Cela nous a permis de passer beaucoup de temps pour prendre du recul, ce que nous faisons très rarement dans notre quotidien. Je suis très content de tout ce que j’ai pu apprendre sur moi et sur ma conjointe.
Eux : nous avons chacun appris à mieux comprendre le fonctionnement de l’autre et aujourd’hui, cela nous aide encore et nous permet d’éviter des moments de tension.
C’est une belle expérience que nous recommandons.
E&G, couple, Pays de Loire
… »où tu te dis que tu te rencontres mieux parce que tu es accompagné.  Qu’ il y a le monde autour et toi sur la terre »…
« Il y a avant le chemin . Ces moments où tu en fais déjà un bout. Un bout dans ta tête, un bout pour préparer ton sac, un bout pour dire aux autres que tu t’en vas, un bout pour rejoindre Philippe.
Il y a pendant le chemin. Lorsque tu marches. Ce temps où tu poses un pied devant l’autre. Celui où quelque fois le plus grand pas est celui que tu fais quand tu t’arrêtes de marcher. Celui où tu te dis que tu te rencontres mieux parce que tu es accompagné.  Qu’ il y a le monde autour et toi sur la terre.
Et puis il y a l’après. L’après chemin. Le moment où tu te sépares du groupe, où tu ranges tes godasses, où ça te manque de ne pas remettre tes pieds dedans le matin tôt, où s éloignent les souvenirs, où commencent les effets secondaires du chemin.
Et c est là le sens du chemin. Tu ne le connais pas d’avance et tu trouves ta voie ou un bout de voie. Tu es en route.
– Et tu fais quoi pour tes pieds?
Parce que c’est une des questions préférées de Philippe. Parce que c’est la question du chemin. Parce que c’est la question de ta vie, chaque soir quand tu arrives dans un lieu pour dormir et qu’ il y a des tas de gens qui ont leur expérience du chemin.
Tes pieds, c’est ton « égo système ».  La taille de tes ampoules, la couleur de tes pieds, tu joues ta peau et tu fais quoi pour toi? Tu prends soin de tes pieds? 
Sur le chemin, il y a toutes les pointures du monde. Ceux qui n’ont même pas de pieds, ceux qui traînent des gros sabots, ceux qui ne veulent que de nouvelles chaussures, les grosses pointures, les orthopédiques, les petits petons…
En tout cas, tu te marres. Jamais on parle comme ça de nous ».
C, enseignant, Paris
J’ai […] observé autrement « la vie » qui m’entoure. Mes sens se sont éveillés différemment. J’ai eu envie de plus de simplicité encore…

Depuis quelques années, je tournais en rond à la recherche de comment vivre en adéquation avec moi-même, pensant bien me connaître.
Lorsque je suis partie en marche accompagnée avec Philippe, mes limites étaient atteintes : je me sentais de moins en moins à ma place professionnellement malgré l’amour de mon métier et ma capacité à m’adapter. J’avais aussi besoin de comprendre pourquoi ma vie sentimentale ne ressemblais pas à ce que j’en attendais.

Je suis peu sportive de nature et j’avais de l’appréhension à partir avec mon sac à dos pour cette aventure. J’ai douté de mes ressources physiques et me suis concentrée sur l’écoute de mon corps et l’endurance dont j’allais devoir faire preuve. Philippe m’a rassurée et  bien préparée à ce que j’allais vivre pendant cette marche. Je me suis alors sentie en confiance pour entreprendre ce chemin « accompagnée ».
C’est sous un soleil de plomb que nous sommes partis sur les chemins du Lot. Ces quelques kilomètres par jour m’ont déconnectée totalement du monde de la vitesse et m’ont réajustée dans l’évaluation de mes besoins devant la grandeur de la nature.
J’ai vu des paysages magnifiques et observé autrement « la vie » qui m’entoure. Mes sens se sont éveillés différemment. J’ai eu envie de plus de simplicité encore. J’ai rencontré des personnes à l’hospitalité généreuse. Philippe m’a accompagnée là où je ne m’y attendais pas. Sa manière de coacher est attentive et juste dans la perception que je n’avais pas de moi-même.
Grâce à sa manière de me guider, je me suis regardée avec un autre œil, beaucoup plus bienveillant à mon égard. (Je prenais d’abord soin des autres et peu de moi-même). C’est sur des petits détails qu’on ne sait pas regarder sur soi que le réajustement s’opère.
Mais l’inattendu de ce voyage survient plus tard. Après avoir re-goûté à la vie trépidante à laquelle on se soumet parce que c’est une nécessité, je me suis sentie en décalage total. Et bizarrement, ce qui se vit physiquement pendant la marche, le travail sur les émotions, ce que l’on ressent, ce que l’on peut chercher vraiment  qui nous corresponde et comment trouver des solutions, se révèle à ce moment-là.
Depuis cette expérience, j’ai de nouveaux projets professionnels et assume mieux mes choix. J’accueille la vie autrement avec ses surprises parfois désagréables. Et marcher des kilomètres est devenu un plaisir !

Un immense merci à Philippe pour « l’art qu’il a d’accompagner »,  pour sa grandeur d’âme mais aussi sa simplicité ». W, manager, Ouest.Philippe Castan

…poser les bonnes questions sur nos pratiques…

« Merci pour :
– nous avoir ouvert l’esprit
– m’avoir donné envie de progresser dans la fonction managériale
– cette marche inoubliable et utile
– cette marche « questionnante » et inoubliable
– cet échange et l’espoir que cette équipe « MARCHE »
– nous avoir bousculés et guidés
– nous avoir aidés à poser les bonnes questions sur nos pratiques
– votre écoute en coaching individuel ».
Cette équipe de managers a été accompagnée sur la durée, avec, au coeur du dispositif, une marche accompagnée en itinérance de plusieurs jours, traversant des lieux symboliques tels que « La Contrainte », « Avec », « L’Indicateur », « La Communauté », « Le Contre-temps », etc.

…mon degré d’urgence à réaliser s’effondra, je commençais à revenir à un équilibre physique, au pas plus ancré dans le sol sur mon chemin identifié…

Un matin d’Avril 2017,  je me suis levée en me disant : “repars marcher plusieurs jours, cette fois-ci accompagnée !”
L’expérience de la marche solitaire sur le Chemin de Compostelle en 2015, m’avait redressée, (re)verticalisée dans ma vie. Plusieurs mois après, j’arrivais à la croisée de divers chemins dans ma vie professionnelle et ne savais plus lequel emprunter. Hyperactive, bouillonnante d’idées, mon injonction matinale fût évidente : vouloir vivre l’expérience de la marche accompagnée, avec un professionnel dont je savais que son questionnement ou ses silences allaient m’aider à clarifier mes pensées. J’avais besoin d’un compagnon de route qui par sa posture bienveillante, d’écoute, son non jugement, m’apporterait l’aide dont j’avais besoin pour trouver mon chemin.
Je connaissais l’existence de Chemin Aidant, le professionnalisme de Philippe Castan, en toute confiance je me suis lancée à nouveau sur le Chemin, le mien aussi.
Un pas après l’autre, revenir à l’essentiel, dans une nature printanière, telle fût mon expérience, celle de prendre du recul sur ma vie parfois tumultueuse, voire impétueuse, la regarder autrement, sous un autre angle, à distance. Mon sac à dos se délesta de croyances qui me freinaient ou m’agitaient ; ma marche changea, plus souple, plus déroulée, mon bassin repris son espace. Petit à petit, l’expérience corporelle du mouvement en avant pendant plusieurs heures, me coupa dans mon élan de vouloir décider tout, tout de suite, pour apprécier juste là le moment présent au milieu de la nature à laquelle j’appartiens.
Je me suis mise en disponibilité, à l’écoute de mon corps, de mon histoire inscrite, et ai exploré ma capacité à être lente. Mon degré d’urgence à réaliser s’effondra, je commençais à revenir à un équilibre physique, au pas plus ancré dans le sol sur mon chemin identifié.
Je garde le souvenir de fous-rires précieux, de prises de consciences soudaines, de synchronicités sur le Chemin, des partages heureux avec un autre compagnon de route, des lieux majestueux des bords de la Mayenne, de l’accueil chaleureux des personnes qui nous hébergeaient le soir, de mes ampoules délicatement drainées chaque soir par Philippe.
Je reviendrai me ressourcer , merci à toi Philippe.
D, manager, santé, Paris

Philippe Castan
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« …se trouver, se retrouver, mieux s’assumer pour moins assommer… »

 …Des chemins droits, des chemins creux, des chemins courbes mais jamais fourbes. Dans le bon sens avec bon sens, avec ses sens. Des petits tours, de grands tours, de belles tours sans détour. Humour, amour, émotion, passion, partage sont le charme de « marche-avec ». Apprendre à cultiver son grain de folie pour savoir rester joyeusement sérieux et sérieusement joyeux, se trouver, se retrouver, mieux s’assumer pour moins assommer, revenir grandi/gonflé pour être moins gonflant. Merci Philippe. Q, profession libérale, Rhône-Alpes

…j’ai trouvé la patience d’un pas après l’autre, le lâcher prise sur le but, et j’ai trouvé le moment présent dans le pas qui se pose bien à plat …

J’ai décidé de me faire accompagner par un coach qui marche, pour travailler sur mon projet professionnel, pour découvrir une méthode et m’en inspirer et pour me rassurer. Depuis un moment, je voulais vivre l’expérience du Chemin de Compostelle et Chemin Aidant® m’a donné l’occasion de combiner tout cela.Philippe Castan
Me voilà donc 3 mois avant le départ, et mon premier objectif est d’être en forme physiquement. Je m’entraîne avec de la boxefit, du yoga et de la marche. Le deuxième objectif, c’est de préparer le sac à dos: grâce aux bons conseils de Philippe et du site de l’ACIR, et pas mal d’essais et de lâcher prise, je parviens à obtenir un sac de 5 kg ( poids du sac compris).
Le jour J j’arrive en gare de Cahors direction Conques, pour le début d’un bout du Chemin. 
L’accompagnement de Philippe m’a aidé à prendre conscience de tout ce que j’offrais en marchant à côté de… il m’a fait découvrir la posture, la juste distance en marchant..
J’ai aussi découvert à quel point j’aime aller de l’avant..Et mon impatience à y aller…
J’ai peiné et j’ai souffert dans mon corps au point d’être au centre de moi, d’aller puiser mes ressources avec économie, j’ai trouvé la patience d’un pas après l’autre, le lâcher prise sur le but, et j’ai trouvé le moment présent dans le pas qui se pose bien à plat …
J’ai aussi connu l’ivresse de la descente en courant, la peur, la surprise des rencontres et la magie des coïncidences, la chaleur et la force du partage, j’ai défendu avec force et égoïsme mon territoire… je suis parti loin devant seul et ivre de joie.
Depuis mon retour, j’ai donné à mon projet professionnel une plus grande ampleur et j’avance d’un pas décidé et patient.
Merci Philippe. M, accompagnant, Est.


… avoir pu « humaniser » chacun des membres de l’équipe…


Plusieurs mois après cette marche commune avec toute l’équipe, il me reste un sentiment très positif. Ce sentiment a été nourri de mon expérience personnelle, des retours du groupe mais aussi des retours de duos formés à certaines périodes de l’itinérance.

Nous pensions nous connaître suffisamment en tant qu’équipe professionnelle rôdée, mais là nous avons franchi une étape sur le plan relationnel, sur le plan de la confiance, grâce à la qualité et à l’ouverture des échanges. Cette cohésion supplémentaire vient je pense d’avoir pu « humaniser » chacun des membres de l’équipe.
A l’issue de la marche, nous avions défini des projets de développement, avec des niveaux d’implication variables de chacun, mais dans une cohésion globale.
Depuis, nous avons malheureusement été happés par plusieurs grosses commandes qui nous poussent tous majoritairement à « produire » pour un temps plutôt qu’à « développer », mais la qualité supérieure de contact entre nous est présente et nous nous tenons prêts à la phase suivante.

D., manager d’une équipe de consultants, Centre-Ouest.


Un témoignage exceptionnel sur le Blog des marcheurs…

Gilles Donada anime ce blog des marcheurs, il a donné la parole à Martine, qui raconte son expérience


Philippe Castan

« …comme si je m’étais détaché et que je me voyais tel que les autres pouvaient me voir… »

L’expérience de la marche en tant que telle était super, mis à part mon genou qui m’a fait mal 3 jours sur 4, à en pleurer le dernier jour. En effet, j’ai marché en ayant l’impression de prendre un réel recul sur tout, moi, les autres, les inter relations. C’est comme si je m’étais détaché et que je me voyais tel que les autres pouvaient me voir et tel que je ne me voyais pas. Ne pas savoir où j’allais dormir et quelle était la destination, pour apprécier l’inconnu. Marcher droit devant avec confiance, sûre que tout allait bien se passer. Bref, je suis revenu léger et avec l’envie de retourner vers les autres.
M, fonctionnaire,Centre.


…chacun cherchait ses mots pour faire un peu connaissance, je me souviens des regards, de l’écoute (…),  de l’attente…

Mais…qu’est ce qu’on fait maintenant? On se souvient de quoi aujourd’hui?
moi, je me souviens de vous, le premier jour « du tour de table », où chacun cherchait ses mots pour faire un peu connaissance, je me souviens des regards, de l’écoute (un grand merci à Philippe),  de l’attente.
On avance à 2 ou à plusieurs …. Mon émerveillement a été total lors de notre arrivée à la maison d’hôte, les hôtes ont été forts avenants et les prestations excellentes (bien sur merci, nous n’étions pas sur le chemin de Compostelle, mais la marche vers La Retraite).
Je me souviens du silence pendant la marche, de coups d’oeil, des  « j’y arriverai pas mais je me tais quand même », des interrogations, émotions, parler de la vie… de ma vie de retraitée.. Je me souviens de beaucoup d’amour dans ce groupe, de respect, d’attention !
Je suis contente d’avoir fait votre connaissance à tous. Restez vous même ! N, RRH, Paris. En préparation de retraite


Philippe Castan
..Je n’avais qu’à cueillir les informations par tous les sens dont je dispose…

 De Conques à Cahors, témoignage…Quand je suis partie, j’étais comme sur un fil, en déséquilibre sur le plan professionnel.Quand je suis rentrée de cette marche on m’a posé la question : « qu’as-tu trouvé en marchant ? »J’ai répondu : « j’ai trouvé ce que je cherchais, c’est-à-dire moi », un »moi » plus solide que je ne croyais…J’ai découvert le plaisir de l’endurance, l’acceptation de mes sensibilités à fleur de peau qui font aussi ma force créative, la dilatation de mon avenir professionnel devenu plus clair…


Accompagnée par les questions de Philippe, aidée par l’omniprésence de la nature qui m’offrait des réponses au fil de la marche, je n’avais qu’à cueillir les informations par tous les sens dont je dispose. J‘ai vécu des rencontres puissantes, j’ai vécu des rencontres douces, j’ai vécu des synchronicités parfaites et le partage de l’indicible. Mes chaussures étaient devenues grotte chaude, mes chaussures étaient devenues ma maison, je sais que je vais continuer. Merci Philippe pour ton accompagnement que j’ai trouvé solide, respectueux, discret, hilare, si efficace jusque dans le silence T, écrivain et art-thérapeute (44)Philippe Castan
« …Associer l’effort au plaisir dans la créativité me stimule au quotidien… »
Voilà je me pose pour prendre le temps de t’adresser, avec amitié et gratitude, mes remerciements pour ton accompagnement chaleureux-doux et ton guidage sur les chemins vers….

Ainsi, toi et xxxx, grâce à ce partage d’expérience de quelques jours sur le magnifique Chemin, rejoignent mes « pierres précieuses » : belles et lumineuses. Avec tous leurs éclats – rire inclus – c’est si bon !
Ce sont beaucoup de joie et de désir(s) revenus et même naissants. Associer l’effort au plaisir dans la créativité me stimule au quotidien.(…)mon jardin peut être parfois lent à sortir les feuilles mais la graine est bien germée, ça pousse.

U, Paris

« …un grand pas en avant en prenant le temps de respirer, de partager… »
Je t’avoue que je repartirai bien marcher sur des chemins qui ont du sens : quelle belle découverte ! et j’ai beaucoup apprécié ton approche, ton professionnalisme… pour nous faire avancer dans nos réflexions, nos doutes, nos objectifs… Extraordinaire, pour moi, c’était un grand pas en avant en prenant le temps de respirer, de partager, 
d’échanger des idées, des projets… J’imagine qu’à chaque fois ce doit être un « challenge » très enrichissant mais certainement pas toujours évident à guider. Tout simplement, bravo pour ton accompagnement vers la «retraite» : beau clin d’œil et une riche complicité avec Olivier. Une chose certaine, cette marche m’a fait le plus grand bien, merci encore.
M, artiste, Paris

« …la marche en silence qui m’a donné la conscience d’un groupe en marche,qui n’a pas besoin de se parler pour avancer… »

Je dirai que d’un point de vue personnel, l’exercice les yeux bandés a été pour moi le plus agréable : à la fois parce que j’avais ( et j’ai de manière générale) une confiance absolue dans mon guide xxx, ce qui me renvoie à l’alliance avec le coach et parce que la vigilance qu’il requiert décroche le mental.
Au niveau du collectif, c’est la marche en silence qui m’a donné la conscience d’un groupe en marche, qui n’a pas besoin de se parler pour avancer ….dans le respect total de la consigne ….. Avez vous remarqué notre constant respect du cadre ? N’est ce pas Philippe ? C., Consultant, Var
 Le Chemin
« …qualités d’écoute (…) à la base de toute réussite »
La randonnée a été une belle parenthèse dans mon activité professionnelle du moment, mais dès le lendemain, il a fallu reprendre la course effrénée du travail.
Un grand merci pour ces informations sur un mot (Sérendipité) que je ne connaissais pas et qui invite à la découverte comme à la réflexion.
Nous avons tous passé un moment très agréable avec cette randonnée et je te félicite encore pour tes qualités d’écoute qui sont à la base de toute réussite dans ce genre de rencontre. Malgré que nous venions tous d’horizons différents avec nos parcours, j’ai trouvé le groupe très homogène, solidaire et coopératif pour aller là où toi et Olivier vouliez nous emmener… l’approche de la retraite.
Je trouve très souvent frustrant de faire un séminaire, un stage, une formation… où les échanges sont toujours très enrichissants et de devoir se quitter sans jamais se revoir. Dans notre cas précis, en voie d’une retraite ou l’abordant tout juste, il est intéressant de partager et de pouvoir continuer à échanger… surtout à un moment clé de notre vie.
K., Retraitée, ParisLe Chemin
« …la seule façon de vivre c’est d’accepter de se mettre en route et de se remettre en route chaque jour… »

J’ai toujours aimé marcher. J’ai toujours aimé la nature. J’ai toujours aimé faire de nouvelles expériences. Et puis , j’ai rencontré Philippe et son coaching en marchant. Mon sac à dos fut promptement rempli et les retrouvailles eurent lieu à Conques, lieu magique, si il en est. Ce chemin où ont marché des milliers de pèlerins et où se côtoient des milliers de personnes en quête de réponses à leur questionnement du moment, de vérité , de dépouillement, de dépassement de soi, a fait naître en moi d’étranges réactions.Philippe Castan

J’étais partie avec l’idée de préparer le futur , de travailler ma spiritualité , ce besoin récurrent qui me soulève et m’aspire vers le haut . Le temps s’est télescopé, le passé est devenu le présent et je suis redevenue la petite fille qui gambadait dans les champs et les prés! Libre , et curieuse. Confrontée à ce télescopage , j’ai surtout fait l’expérience du moment présent, de l’ici et maintenant : la seule chose vraie , tangible et concrète et en même temps questionnante et si mystérieuse . N’est ce pas la métaphore de la vie : on a beau préparer et anticiper, la vie nous surprend toujours ! La seule façon de vivre c’est d’accepter de se mettre en route et de se remettre en route chaque jour, de faire en sorte de voyager léger sans s’encombrer de l’inutile qui nous freine ou nous alourdit , et surtout le cœur confiant et ouvert , prêt a accueillir les surprises, l’inattendu , prêt à s’émerveiller ! Il y a eu l’émerveillement devant la beauté des paysages endormis au petit matin encore enveloppés de brume, des midi glorieux écrasants de chaleur, des soirées joyeuses !… Les rencontres dans les gîtes ne sont pas la moindre des réjouissances!.. et les repas savoureux et le bon vin de nos régions!..marcheur ou pèlerin ET bon vivant!Il y a eu la présence forte et rassurante de Philippe. Il y a dans mon entrée , un bâton taillé par ses soins , un jour où les mots n’avaient plus cours, il a su trouver et fabriquer avec que ce qui était là , le bâton que je reprendrai l’été prochain….. inch’allah! N., formatrice et accompagnante, Paris


« …j’étais conscient de la relation avec le coach mais aussi la relation (ou du sentiment) de mon corps qui marchait et la relation avec le terrain et l’environnement… »

L’expérience a été très conviviale, ludique et variée, et les heures sur le chemin ont semblé bien plus courtes.
Au niveau individuel, être à l’extérieur dans la nature avec d’autres m’a permis d’être moi même de façon plus authentique et spontanée au delà d’un rôle, d’un costume. En étant plus en lien avec mon centre, je pouvais plus facilement me relier aux autres. L’utilisation du corps, de l’espace, du mouvement a permis d’expérimenter et ressentir beaucoup plus kinesthésiquement le coaching et ainsi aller au delà du mode réflexif ou cognitif, touchant ainsi des zones plus difficiles à atteindre dans un contexte de coaching plus formel et standardisé.
Tout en « gérant » la relation avec moi même, mon « awareness » dans le contexte du thème exploré, j’étais consciente de la relation avec le coach mais aussi la relation (ou du sentiment) de mon corps qui marchait et la relation avec le terrain et l’environnement. La séance les yeux bandés qui permettait de se concentrer principalement sur le coaching après l’étape de mise en route et confiance avec son coach a fait surgir des phénomènes nouveaux, développement du ressenti corporel par les pieds, les sens, le contact avec le coach et une « intimité » avec celui ci facilitant l’empathie et l’écoute.
Je me demandais aussi à quel point le contexte (système) dans lequel nous étions, la nature, la rivière, les champs, les animaux auraient pu être incorporés plus consciemment ou activement ou métaphoriquement dans l’expérience au delà d’un lien épisodique. Il est facile de se concentrer sur son soi indépendamment du contexte. Existons nous en tant qu’entité « indépendante »? ou existons nous à cause de nos interactions, des liens qui nous relient? La relation avec la nature permet de se relier à sa nature, son corps, son inconscient, aspect souvent délaissée dans notre monde hyper mental, construit de séparation, d’individualisme, d’égos compétitifs, etc. D, qui accompagne en marchant, Sud-Est.


Philippe Castan

« ….s’exprimer dans un cadre rassurant, tout en créant en parallèle une dynamique de groupe … »
J’ai trouvé la démarche et le contexte très apaisants pour les participants. Surtout pour ceux qui n’ont pas forcément l’habitude des longues marches en forêt. Je trouve que l’organisation de la journée permet à l’individuel de s’exprimer dans un cadre rassurant, tout en créant en parallèle une dynamique de groupe rassurante elle aussi. L’exercice de (…) semble simple à première vue, mais s’avère très révélateur. J’aurais bien aimé venir à « La Retraite », j’espère que j’aurai l’occasion de refaire ce genre de marche. O, Photographe, Loire.

Philippe Castan« …J’ai cheminé avec mes pieds et à l’intérieur de moi et mes questions ont trouvé des réponses ou se sont éclaircies, naturellement … »

J’ai vécu de la simplicité et j’aime ça !
Effectivement, après le premier temps de marche et ce premier cercle (merci xxxx d’avoir appuyé sur le bouton), je me suis senti engagée dans un “chemin” dont je ne connaissais pas l’itinéraire, mais dans lequel je pouvais déjà me sentir en confiance.
J’ai cheminé avec mes pieds et à l’intérieur de moi et mes questions ont trouvé des réponses ou se sont éclaircies, naturellement …. j’ai senti un apaisement fort agréable. J’avais aussi l’impression que cet apaisement en plus d’être le mien, était aussi celui des personnes présentes…
Le temps les yeux bandés m’a particulièrement plu. C’est aussi probablement le moment où mon “visuel interne” a été le plus actif !!! H, Formation, Alpes.

 « …comment il était possible de travailler en marchant… »

« Merci pour ton accompagnement.J’ai beaucoup apprécié ta méthode de travail « Chemin Aidant ».Pour être hPhilippe Castanonnête, en m’engageant dans cette démarche j’étais un peu sceptique, je me demandais vraiment comment il était possible de travailler en marchant. C’est donc un pari que j’ai fait en me disant: au mieux « ça marche » (dans tous les sens du terme) et au pire j’aurais effectué une belle randonnée.J’ai gagné mon pari et plus encore et te remercie chaleureusement.Comme on dit: « maintenant Y a qu’à »… » Q, Profession Libérale, Rhône-Alpes

« …La nature mettait en évidence et toute simplicité les réponses à nos situations de coaching dont elle seule a le secret, tout en me confirmant qu’elle est un lieu unique de ressourcement… »
Chemin faisant, nous nous sommes retrouvés pour une ballade entre coachs mais sans trop 
savoir où cela me mènerait.
Chemin aidant, je me suis tout de suite senti à l’aise, dans une ambiance bienveillante et même amicale.
Philippe à su tout de suite nous mettre à l’aise et nous emmener vers cette petite aventure « verte » tant surprenante, qu’enrichissante.
Au fil de l’eau, des arbres, plantes et petits animaux jalonnant et illustrant notre parcours, la nature mettait en évidence et toute simplicité les réponses à nos situations de coaching dont elle seule a le secret, tout en me confirmant qu’elle est un lieu unique de ressourcement.
Pourquoi, ne pas y avoir pensé plus tôt ? Comment pourrais-je le mettre en application dans mes coachings ? Les réponses étaient là sans avoir à se poser la question.
En final, une journée légère, ludique, joyeuse et professionnelle, mise en musique par Philippe et Olivier nos guides, chacun sur leur chemin respectif mais parallèle et complémentaire, et où j’ai pu avancer simplement dans une posture de coach où l’autre et l’environnement prennent toute leur dimension.        

Merci Philippe et à bientôt sur un autre chemin aidant. P, spécialiste de l’accompagnement, Sud-Est


« …je suis reparti avec des pistes concrètes sur des situations que j’avais à gérer… »

Sur le sentiment « d’égal et d’inclu », il m’arrive parfois de croiser des gens quelques heures et dont je me dis peut être que l’on ne se recroisera pas avant longtemps mais ça me fait du bien de savoir que cette personne soit sur terre. C’est ce que j’ai vécu avec vous, un sentiment de fraternité. Sur le retour du coaching en lui même je me suis senti plus nourri au niveau individuel que collectif et je suis reparti avec des pistes concrêtes sur des situations que j’avais à gérer. T, accompagnante, Sud France


 Philippe Castan« Prendre conscience d’un moi que je ne connais pas encore… »

« Il est 8h00 en ce petit matin. Je viens de récupérer mon crédencial et je fais mes premiers pas avec un sac à dos que je ne vais pas quitter pendant 9 jours. Je marche dans les rues, vers le lieu de rendez-vous : l’un de mes co-marcheurs est déjà là. J’ai quitté mon domicile hier après-midi. La nuit à l’hôtel a été courte. Une excitation à la veille du grand départ, des craintes aussi. Suis-je suffisamment préparé ? Qu’est-ce que je viens chercher dans cette marche ? N’ai-je rien oublié de prendre ? Je constate que mon sac est bien lourd… Je donnerai des choses en chemin, tant pis, c’est trop tard maintenant !8h30 : Philippe arrive. Je remarque que son sac à lui a l’air bien léger…Une photo souvenir et nous sommes déjà en route. Nous traversons la ville et bientôt le chant des oiseaux remplace le bruit des voitures, l’herbe verte du chemin a pris la place du bitume. Whaaaouu, cette fois ça y est, nous sommes vraiment partis, et c’est génial !Durant ces 9 jours de marche, nous allons croiser des gens attachants, de ceux qu’on ne remarquerait même pas dans la rue. Des échanges vont naître, et à chaque fois, une lueur dans leur regard qui nous dit combien ils nous envient, de quels rêves ils nous habillent et ce en quoi nous les faisons eux-aussi voyager.Le chemin m’aide à prendre concience d’un moi que je ne connais pas encore lorsque je me mets en chemin. Beaucoup de questions, des découvertes, quelques réponses et une certitude : je repartirai de nouveau. »H, cadre, hautes technologies, Grand Ouest


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« …le travail avec la métaphore de « ce qui est là » est puissant… »

« …Olivier, celui qui fixe le cap et qui guide sur le chemin, avec son énergie, son humour et son expérience. Philippe, c’est l’aplomb, la discrétion et la carrure du coach : sécurité et bienveillance totales. Avec vous deux, j’ai eu une excellente impression d’un accompagnement complet et solide. (…) J’ai beaucoup apprécié le parcours lui-même. Le But, c’est effectivement quelque chose de plus ou moins mythique pour chacun, avec le sens que chacun veut y mettre.Pour moi, c’était juste le faire, d’un bout à l’autre et au passage, trouver du sens dans un domaine de ma vie professionnelle. J’ai aussi apprécié les mises en situation. Me rendre compte de ce que je peux avoir comme exigence vis-à-vis d’autrui. Et de ce que cela peut masquer de mes manques, ou de mes failles. Même sentiment d’avoir fait un pas vers plus de clarté avec le coaching avec toi Philippe, le travail avec la métaphore de ce qui est là est puissant, il a fonctionné avec moi. Et si je voulais résumer ce qui subsiste à l’instant, et avec le recul , c’est le mot « Intégration » qui le résume le mieux. Je me sens depuis beaucoup plus serein en profondeur, et apparemment de manière durable. Je pense que la vision de mes projets vus globalement et sources d’une nouvelle vie, ou d’un nouveau potentiel, m’a permis de relativiser ce que j’éprouve à ce sujet. Et je me sens bien recalé et très calme intérieurement. Comme si mon corps avait dit à mon mental : « Tu vois, l’essentiel, c’est le chemin, et ce que tu as fait jusqu’ici était un chemin. Simplement. (…)Atteindre Le But, c’était comme arriver là où nous devions aller, avec le plaisir de le partager, mais sans un enthousiasme particulier. D’objectif, l’arrivée devient un passage. Je pense pour ma part que c’est la vie aussi. Avec ceci que s’il n’y a pas de marche vers Le But, il n’y a pas de chemin et donc pas de transformation. Il faut donc aller à Le But pour que chacun se mette en route… »Q, Entreprise de prestations intellectuelles, international


« …la nature nous offre décidément de belles opportunités d’être, à son contact, toujours un peu plus et profondément nous-même… »
L’ici et maintenant parPhilippe Castantagé lors de cette journée trouve encore de nombreux échos dans l’ici et maintenant d’aujourd’hui. Pour moi cette « promenade dans le jardin du coaching en marchant » s’est inscrit dans la continuité, simplicité, authenticité, complicité étaient au rendez-vous : dans l’ouverture de cœur et la confiance nous marchions ensemble! Plus largement dans la continuité du chemin qui m’anime et m’inspire depuis un bon moment, ce fut un moment parfaitement juste!
Techniquement parlant, l’épopée de la marche aveugle m’a profondément touché, une profondeur et une subtilité de la relation que j’aime contacter et qui constitue un des ingrédients majeurs du plaisir que j’ai à faire ce métier… et finalement la décision concrète de « nettoyer » tous les jours mes oreilles en conscience 🙂 …. Réveil des sens … la nature nous offre décidément de belles opportunités d’être, à son contact, toujours un peu plus et profondément nous-même. N., superviseur, PACA

« …Le chemin est un accélérateur de notre changement intérieur… »

L’opportunité de partir marcher une semaine sur l’un des chemins de Compostelle s’est présentée dans un moment difficile de ma vie. Grâce à Philippe et son accompagnement, cette expérience a été incroyable : il m’a véritablement initiée au cheminement.Le chemin m’a apprivoisée, ressourcée, offert des émotions fortes en lien direct avec l’immensité du ciel et de la nature. J’étais en osmose avec l’environnement, dans l’instant présent où ni le passé, ni le futur ne comptent, seul un lâcher prise opère et met dans un état de plénitude.La simplicité dans les rapports aux autres, la solidarité très présente entre « pèlerins » et l’ouverture d’esprit m’ont beaucoup touchée. Habitée d’une énergie étonnante, le rythme de mes pas ne dépendait plus de moi, j’étais guidée……J’en suis revenue différente avec une seule idée en tête : le désir de repartir…..Le chemin est un accélérateur de notre changement intérieur, il amène à une prise de conscience et nous fait grandir.Merci à toi Philippe pour ton écoute bienveillante, ces moments d’échanges et ta générosité dans le partage de ta passion du chemin. »D., professionnelle de l’accompagnement

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« …quand repart-on?…. »

Marcheuse, je le suis, mais pèlerine c’est la première fois ; voilà, je marche sur le Chemin de Compostelle, le Chemin, mythique, mystique, religieux, culturel, historique…Je vis les rites et les rythmes du Chemin, l’accueil de l’hospitalier, le cachet sur le crédential, partager le repas avec d’autres pèlerins, dormir en dortoir, prendre la douche et faire la lessive en arrivant à l’étape… le cadre en somme. Je pars le matin, avec ma maison sur le dos, le sac à dos fait maintenant partie de moi, et s’ouvre alors toute une journée disponible, je suis libre et mon chemin intérieur se construit en marchant. J’avance jusqu’à la prochaine étape, en découvrant.Nous sommes quatre professionnels, unis dans ce même projet, entre éclats de rire et concentration, nous expérimentons le coaching en marchant.Merci Philippe pour ta présence dense et légère, passeur de cette belle aventure humaine…quand repart-on ?D., psychologue, 44

Michel Audiard (Un taxi pour Tobrouk, 1961) : « Deux intellectuels assis vont moins loin qu’une brute qui marche »

« …retrouver un pas plus constant et plus de confiance en moi pour avancer… »

En phase de recherche active de travail, et après avoir accompli un bilan de compétences approfondi, j’ai aimé cette journée parce qu’elle m’a tout simplement permis de me remettre en marche.
En effet, cette recherche est l’occasion de moments d’enthousiasme mais aussi de découragements voire de doutes, et maintenir le rythme est ce que je trouve le plus difficile.
Depuis notre marche vers le But, j’ai retrouvé un pas plus constant et plus de confiance en moi pour avancer. En espérant bien sûr que cela durera jusqu’à trouver le job rêvé….
J’en profite pour vous remercier tous les deux une nouvelle fois de la qualité de votre accueil et de votre écoute. G, Directeur de Communication, Commerce International

« Le corps, qui discerne et s’approprie immédiatement l’évolution ou le changement… »

Philippe CastanJ’ai l’impression d’être davantage attentif à ce qui se passe en dehors de moi et en même temps en moi. Rechercher et prendre en compte mon environnement, mon terrain, ma (la) réalité apparente et en même temps être ouvert et sensible à ce que je ressens. Mes 5 sens sont en éveil et l’intuition est branchée en même temps. Avancer sur mon « chemin à moi » avec ces repères externes et internes et prendre davantage en compte les informations qui émergent par ces deux canaux. Ca c’est ce que je comprend avec mon cerveau et mon corps. Avec mon coeur et je dirais mon Ame ? Mes compagnons de route  » gestaltistes » parleront justement d’une nouvelle Gestalt qui est en train de prendre corps en moi : le verbe s’incarne dans le silence…. en marchant = dans le mouvement , dans mon corps, qui discerne et s’approprie immédiatement l’évolution ou le changement. Le cerveau me traduit, après une forme d’infusion, ce qui s’est passe ou ce qui est peut-être en train de se passer pour et en moi.O, coach de dirigeants, Paris


« …Un équilibre assez troublant (…) entre ma conscience de l’instant et la dynamique de la marche… »

« Le cheminement vers le But doit être une voie semée d’embûches, me suis-je dit avant de participer à cette Philippe Castanjournée.Dans la forêts des buts, cibles , objectifs, desseins, ou intentions qui encombrent parfois mon cerveau, j’ai découvert en marchant la dynamique de la gestallt (dont j’avais auparavant une représentation assez formelle et statique, je l’avoue).Cette journée a permis dans l’authenticité et la confiance des échanges, un ajustement permanent des individus dans le groupe, dans un cadre étonnamment détendu et intime. J’ai apprécié la bienveillance dont vous avez tous les deux fait preuve.Lors de cette promenade, j’ai expérimenté la liberté de choix de diriger mes pas et mes gestes en désamorçant mon pilote automatique. Un équilibre assez troublant (après réflexion) s’est instauré entre ma conscience de l’instant et la dynamique de la marche.En arrivant au But, j’ai envisagé tranquillement la perspective d’aller au-delà du But pour trouver ma voie et bizarrement d’entendre ma voix… Avec l’aide de ces instants précieux, je reprendrai sans doute, la route avec un plus d’assurance pour de nouvelles aventures… »O, DRH, secteur institutionnel, Paris


« …me retrouver à Saint Jean Pied de Port sans bien m’en rendre compte… »

« Tu es devenu rapidement mon guide, mon soigneur. Ton art de crever et « recoudre » les ampoules avec du fil blanc a séduit mes pieds meurtris par le chemin.Tes plaisanteries, ton suivi psychologique m’ont permis de me retrouver à Saint Jean Pied de Port sans bien m’en rendre compte. Ton calme, ta bonne humeur ponctuaient les journées de marche commune. Nos chemins se séparent pour le moment. Bonne chance et mille mercis. »C, diplomate, Paris

 Philippe Castan
« …Cette parenthèse de 10 jours m’a permis de passer d’une phase de doute à une vision plus claire… »

“En décidant de participer à un accompagnement en marchant, je n’imaginais pas toutes les portes qui allaient se refermer et toutes celles qui allaient s’ouvrir, tout doucement, sans claquement et sans grincement.C’est, en effet, entre Angers et le Mont St Michel, sur la voie des Plantagenets que je me suis engagé pour environ 10 jours d’un travail et d’une recherche personnelle. Je souhaitais clore une expérience de mon passé professionnel et surtout trouver un positionnement quant à mon avenir.Chaque jour, sur le chemin, les questions ajustées et affinées de mon coach m’ont amené à trouver des réponses dont je ne soupçonnais même pas l’existence. Nous avons réalisé un travail remarquable et intense, cette parenthèse de 10 jours m’a permis de passer d’une phase de doute à une vision plus claire pour mon avenir.Ce témoignage est un merci de cœur à Philippe, et, après quelques mois, je récolte les résultats de notre rencontre.”C., Dirigeant, entreprise innovante en construction raisonnée, Bretagne


« J’ai ressenti fortement combien je peux avancer tout en acceptant la présence ponctuelle et aidante de l’autre… »

« Le fait de marcher, essentiel, car le corps, les sensations prennent le relais du mental et laissent la part belle au spontané, au ressenti pur, au “ce qui est là, présent, tout de suite”L’accompagnement:L’individuel, intimidant dans les premières minutes car je me sentais très fragile, j’ai eu un moment de blocage puis j’ai eu confiance, je me suis dit que c’était un chance de pouvoir m’exprimer, la façon dont tu as conduit la séance était ok pour moi,j’ai eu à me positionner par rapport à mes choix propres, quel sujet pour moi! j’ai pu choisir la façon dont je pouvais être en communication avec toi pour être à l’aise, je me suis sentie libre de parler.Le collectif : un moment de centrage et de prise de conscience ultra rapide. Je me suis sentie centrée en moi-même, avec une vision claire de ce dont j’ai besoin: aller calmement, à mon rythme, lentement, dans une direction légèrement différente de celle que j’ai prise jusqu’à présent, mais pas antinomique. J’ai ressenti fortement combien je peux avancer tout en acceptant la présence ponctuelle et aidante de l’autre. (…)j’ai aimé le groupe, les échanges, les moments de solitude, les rires, les partages autour d’un thème qui nous réunissait, j’ai aussi aimé farfouiller dans la nature à la découverte de mes repères favoris.j’ai apprécié votre présence à Olivier et toi, à la fois structurante, légère, réconfortante, stimulante, en aucun cas en posture haute.Une image me reste du But: un plateau où mon regard balaie largement l’horizon, du vent, il fait un peu froid mais le possible est là.T, Artiste de la matière, Ouest

 Philippe Castan« …Laisser en chemin les doutes… »

Faire le chemin, c’est se trouver en contact avec l’immensité de la nature, la fragilité de notre être et laisser en chemin les doutes. C’est aller avec d’autres sur la route et vivre des temps entiers de communion aux autres, à soi et au spirituel.Je n’aurais jamais pu tenter cette expérience sans la présence inconditionnelle d’un accompagnateur. Présence de celui qui cherche et qui nous invite à chercher. Présence aussi de ceux qui nous montrent le chemin … ou parfois rebroussent chemin !Quel plaisir de marcher dans les paysages et les pas des autres pèlerins qui ont foulé avant nous la terre. Quel plaisir de se savoir être apprécié pour son unicité et pris par la puissance du chemin qui se coule dans le corps des pèlerins qui se meuvent.Un rythme de pas, de marche, c’est le rythme de l’autre qui fait écho en nous pour créer un autre rythme, une énergie qui nous pousse à aller au-delà. Marcher accompagné, c’est aussi faire l’expérience de la solitude en étant à plusieurs.”D., cadre, énergie et services, région parisienne


« Thank you for 12 wonderful days together ! »

It is impossible to express my gratitude towards you in words but I will give it a try. Thank you for 12 wonderful days together ! Thank you for listening ! Thank you for expressing the insights ! Thank you for so many wise words ! Thank you for sharing a part of your experiences with me ! Thank you for your honesty ! Thank you for taking care of my feet and legs ! Thank you for so many fun moments together ! U., Responsable Ressources Humaines, Belgique


« …Mon regard quitte la pointe de mes chaussures, pour se lever ; apercevant alors à l’horizon la voie… »

« Je me suis engagé sur le Chemin Aidant avec comme souhait de me rapprocher, au rythme de mes pas, de mon Philippe Castanessentiel. Sous un soleil ardent, arrimé à mon sac à dos, apprivoisant ce corps remodelé par l’effort, le tourbillon de mes pensées perd de son élan, jusqu’à se laisser simplement bercer par la cadence. Guidé par l’accompagnement j’ai puisé dans mon infini la force me permettant d’atteindre mes étapes. Tout en cheminant les dialogues se font simples, sans emballage, libérant les cadenas si minutieusement installés. Au fil des jours et grâce à l’échange, mon regard quitte la pointe de mes chaussures, pour se lever; apercevant alors à l’horizon la voie me permettant de me rapprocher de l’être que je suis. En partageant mon chemin j’ai ressenti chaque instant tel un souffle me portant vers un demain plus paisible ».N, entreprise familiale, Suisse

 

 

 

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